Suite à la folle journée du 25 mai organisée par le Vieux Brindas, voici pour commencer la galerie de photo publiée par Le Progrès.
D’autres récits et photos de cette journée suivront prochainement.
Suite à la folle journée du 25 mai organisée par le Vieux Brindas, voici pour commencer la galerie de photo publiée par Le Progrès.
D’autres récits et photos de cette journée suivront prochainement.
Suite à cette folle journée du 25 mai 2019, retrouvez toutes les galeries photo de l’événement.
© Photos de Cécile Chevat, Marc & Jocelyne Chevat, Ennio Boschetti, Laurence Gabriel, Denis Rionnet, Stéphanie Bichonnier
Les associations de Brindas, à l’initiative du Vieux Brindas, vous convient à une grande fête villageoise autour du thème « Les Années Folles »
Téléchargez le programme, ou découvrez ci-dessous le détail des festivités.
Les associations participent également au défilé.
Un groupe de jeunes de la MJC assurera une buvette dans le cadre des actions d’autofinancement pour les projets de séjours à l’étranger.
Venez, comme dans ces années 1920, bouillonnantes et fantaisistes, vous amuser, vous divertir, danser, chanter, partager… et faire vivre Brindas au rythme de ces années folles !
À l’occasion de la Foire de Brindas, le Vieux Brindas a proposé (en avant goût de la fête villageoise “Les Années Folles” du 25 mai) une exposition sur la vie locale et les réclames des Années 20. Le 28 avril 2019, plus de 450 visiteurs sont venus, au Clos des Arts et des Lettres, voir les panneaux réalisés par les membres de l’association.
Photos © Christiane et Michael Hughes.
Les Années Folles, une période faste qui fait suite aux horreurs de la “Grande Guerre” et pendant laquelle hommes et femmes veulent oublier les privations et jouir de la vie retrouvée…
Les femmes, qui ont dû s’adapter à l’absence des hommes partis à la guerre, ont pris de nouvelles habitudes vestimentaires et opté pour des coiffures et des toilettes à la fois plus pratiques et plus masculines…
Après la fin du conflit, une génération nouvelle rêve d’un monde nouveau et proclame « Plus jamais ça ! ». On s’empresse de lui proposer de nouvelles griseries sur fond de musique.
Venu d’Amérique avec les Alliés, le jazz fait son apparition mais également la danse, la radio et les sports, les industries avec les électroménagers, etc., sur fond de très forte croissance économique…
© Photos de Michael Hughes.
Photos réalisées lors du très intéressant voyage organisé par le Vieux Brindas samedi 13 octobre 2018. © Ennio Boschetti
Nous avons d’abord visité les anciennes soieries Bonnet à Jujurieux et « touché du doigt » les magnifiques tissus réalisés mais pris conscience également des difficiles conditions de vie des ouvrières et ouvriers au XIXème siècle.
Nous avons enchaîné par la visite de l’Abbaye d’Ambronnay.
Une halte repas dans un restaurant perdu en pleine nature à Châtillon-la-Palud nous a permis de refaire le plein d’énergie.
L’après-midi s’est terminée sur la visite du musée du cheminot à Ambérieux. Les bénévoles de l’association qui gèrent les lieux nous ont fait partager leur passion.
Cette année, la sortie annuelle du Vieux Brindas prendra une nouvelle direction et le thème sera particulièrement intéressant.
Toutes les infos dans l’agenda du Vieux Brindas.
Date limite d’inscription : 1er juin.
M. Paul Pelcé, archéologue, fait état de ses recherches concernant le château et le vingtain du village de Brindas, ainsi que l’église de Brindas et son évolution au fil des siècles. Retrouvez ces articles de fond dans la rubrique Patrimoine Historique.
Non content d’avoir en poche un master 2 en histoire et archéologie comparée des sociétés médiévales des mondes chrétiens et musulmans, Paul Pelcé poursuit des études le menant à la thèse. Ce passionné. d’archéologie, âgé de plus de 70 printemps, est un visage familier des Brindasiens qui ont pu le croiser au cours de ses fouilles. « Je suis autorisé par l’État à étudier deux maisons fortes de Brindas : celles du Bouleau et de la Pillardière.
Ce sont les résidences de la petite aristocratie. Elles apparaissent à la fin du XIIe siècle jusqu’au début du XVIe. Leurs propriétaires appartiennent à la noblesse », précise-t-il.
En Rhône-Alpes, on en dénombre en moyenne trois par commune et elles sont situées le plus souvent au milieu des champs. Le modèle architectural est celui d’une « maison tour » qui comprend la cuisine au rez-de-chaussée et des bâtiments disposés autour d’une cour. La maison forte est toujours associée à une exploitation agricole. Il y a généralement des éléments défensifs (meurtrières, archères).
« Mes recherches m’ont permis d’établir un certain nombre de faits archéologiques qui vont parfois à l’encontre des épisodes historiques relatés dans certains documents », affirme-t-il. La datation au carbone 14 faite par le centre de datation par le radiocarbone de Villeurbanne a ainsi permis à Paul Pelcé de mettre au jour certaines contradictions. Des fragments de bois, prélevés sur trois poutres provenant de la tourelle de la maison forte du Bouleau, indiquent une datation entre le milieu du XVe et le premier tiers du XVIIe siècle. Or, il n’y avait plus de construction de maisons fortes à cette époque.
« Il est probable que celle dite du Bouleau, qui n’a pas les caractéristiques d’une maison forte parce que située en bord de route et sans aucun bâtiment agricole existant autour, ait été construite à une période antérieure en dépit de la date de 1666 qui figurait sur le linteau du portail d’entrée. Elle devait plutôt servir de relais routier et d’auberge, ce qui permettait aux voyageurs de changer de cheval. Pour les relevés archéologiques des murs sur ce site du Bouleau, Pauline Guilpain, étudiante en master à Lyon 3 et résidente de Brindas, m’a apporté son aide précieuse », précise Paul Pelcé.